Le mythe Pasteur !

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A la mémoire de Nicolas APPERT, simple épicier !

Qu’en dit le Quid (Ouvrage populaire « de référence ») : Louis Pasteur (1822-1895) et Robert Koch (1843-1910) créent la bactériologie et les concepts de maladie microbienne, d’immunité, de vaccination et de sérothérapie.

Curieusement, ce même ouvrage attribue la découverte de la vaccination, en 1798, à Edward Jenner (1749-1823) !

Pasteur n’était certainement pas au courant des travaux de Jenner ?

Pasteur est cité comme l’inventeur de la « pasteurisation » en 1865 !

Pourquoi on cite toujours la « Pasteurisation » et si peu souvent « l’Appertisation »

Prenons la définition de la pasteurisation :
« Destruction par la chaleur des formes végétatives des micro-organismes. » (Quid P.1294).

Prenons maintenant la description de l’Appertisation qui a été inventée en 1805 (soit 60 ans plus tôt) par Nicolas Appert (1749-1841) :
« Destruction par la chaleur des formes végétatives et sporulées des micro-organismes », effectuée en deux opérations, « conditionnement du produit dans un récipient étanche, et action de la chaleur qui détruit ou inhibe les enzymes, micro-organismes et toxines ».

N’avons nous pas là, la même description d’un procédé destiné à rendre un milieu stérile ?

Pasteur n’était certainement pas au courant des travaux d’Appert ?

Peut-être est-ce à cause de cela qu’il est cité, dans le Quid, comme celui qui préconisa, en 1873 (68 ans plus tard) de détruire les germes contenus dans la bière, par élévation de la température !

Nicolas Appert, simple épicier, n’a pas l’honneur d’être cité dans les grandes inventions, alors que Pasteur l’est au sujet de la « Pasteurisation ».
Le second était-il plus médiatique que le premier, alors que c’est grâce à Nicolas Appert que l’on doit l’invention de la conservation des aliments par la stérilisation en température. Que ferions nous aujourd’hui comme cuisine, sans nos chères « boites de conserves » qui garnissent les étals de nos hypermarchés.

Quand Pasteur rime avec imposteur

« Ainsi, comme l’affirme de nombreux auteurs, Pasteur aurait menti : plusieurs historiens dénoncent aujourd’hui ce qu’ils appellent ses mensonges et ses mystifications que maintiennent le chauvinisme français et le loi du profit.

Même le célèbre enfant, Joseph Meister,  » sauvé « de la rage fait sourire ceux qui savent que personne n’a démontré que le chien ait été enragé, et personne n’explique pourquoi on a « oublié  » de nous dire que le chien, le même jour, avait mordu plusieurs personnes dans le village, qui ne s’en sont pas portées plus mal, sans vaccin!…

La théorie vaccinale du monde entier est partie sur ce cas unique mensonger!

Les responsables de la Santé Publique le savent depuis le début du siècle [dernier] mais ont laissé véhiculer ce mensonge, constatant qu’il existait là un marché potentiel fabuleux! »

Il est permis, même pour des non-spécialistes, de mettre en doute les thèses de Pasteur dont les thuriféraires risquent de voir le sol se dérober sous leurs pieds : « Le jeune Rouyer (12ans) fut mordu le 8 octobre 1886 par un chien inconnu, pasteur lui inocula un vaccin par la méthode intensive. Le 26 octobre, l’enfant mourut. Une enquête judiciaire dont fut chargée le Pr Brouardel fut alors ouverte pour déterminer les causes de la mort mais celui-ci, haut personnage bardé de diplômes, était un ami de Pasteur. Dans le laboratoire d’Émile Roux, on inocula une partie du bulbe cervical de l’enfant à des cerveaux de lapins. Quelques jours plus tard, les lapins moururent de la rage mais Brouardel, en accord avec Roux, décida de porter un faux témoignage… Le rapport indiquait:  » les lapins sont en bonne santé aujourd’hui « .

Pasteur déclara que l’enfant était mort d’urémie… »

Mais voici le pire concernant Pasteur : « …En 1886, les morts connus à mettre au passif de la méthode Pasteur s’élevaient à 74 … Certains sont morts en présentant les symptômes de la rage ordinaire, d’autres ont succombé à une affection surnommée  » rage des laboratoires … »

Enfin, le Pr Tissot nous explique pourquoi le principe même de la vaccination est un non-sens pour de nombreux scientifiques:

« Toute maladie causée par un microbe étranger présente 2 phases : une première phase aiguë avec fièvre durant laquelle le microbe se multiplie durant 8 à 15 ou 20 jours, comprenant l’incubation et la période d’état, et une 2ème phase chronique pouvant durer jusqu’à la mort et comportant les accidents les plus graves de la maladie, dont les uns surviennent tout au début de cette période, d’autres beaucoup plus tard. Pour se multiplier dans le sang, le microbe y fabrique lui-même une substance nommée antitoxine qui agglutine ces éléments et les fait passer à l’état de moisissure, ce qui caractérise le début de la période chronique. Cette moisissure va se loger dans les organes où elle cause des troubles (paralysies, néphrites, etc…) en continuant à former l’antitoxine. Celle-ci est le corps immunisant mais elle ne protège pas contre les troubles que cause la moisissure, puisque c’est celle-ci qui lui donne naissance. Le principe de l’immunité est donc faux :

1- Parce que l’antitoxine prétendue immunisante est fabriquée par le virus et assure son évolution et non sa destruction,

2- Parce qu’un virus devenu vaccin par atténuation peut récupérer sa virulence originelle et provoquer la maladie avec toute sa gravité,

3- Parce que le vaccin inocule à tous les vaccinés (100%) la maladie chronique,

4- Parce que pratiquement, les vaccinations contre la fièvre typhoïde, la variole et la rougeole et la diphtérie n’empêchent pas de contracter la maladie 6 mois ou un an après. » 6

La meilleure protection contre l’infection est la propreté

 

Tout le monde est conscient qu’en médecine, rien n’est certitude, sauf ce qu’Hippocrate savait déjà - »la meilleure protection contre l’infection est la propreté. »

D’ailleurs, l’O.M.S., dans le N°523 de la série de Rapports techniques intitulé « WHO Expert Committee on Rabies Six Report », 1973, annonce que « l’injection parentérale du vaccin antirabique du type Fermi, peut provoquer la mort dans certaines conditions, parce que contenant un résidu de virus actif. »

Le Comité insiste sur le fait que le procédé le plus valable dans le traitement des morsures est « le traitement local des blessures effectué par un lavage consciencieux à l’eau et au savon…« .

Alors, que faut-il penser de tout cela ?

Un voile pudique est posé sur l’oeuvre de Pasteur, permettant de ne pas trop se poser de questions sur la valeur de sa réputation et de ce fait, rue, place, lycée, collège, université, institut, etc., peuvent continuer à s’enorgueillir de porter son nom.

Ce ne sont surtout pas les ouvrages populaires, soi-disant chargés d’éclairer les pauvres lanternes du public sur tous les sujets, et sur toutes les questions qu’il pourrait se poser, qui aideront à rétablir la vérité.

Ma première rencontre avec la force des habitudes tenait en cette question posée à un enseignant : » Pourquoi continue-t-on à enseigner que le courant va du plus vers le moins, alors que l’on sait que le sens électronique va du moins vers le plus ? ».
Il m’avait été répondu, alors : « Que c’était trop compliqué de changer les conventions ! ».

Depuis, j’ai compris qu’il valait mieux continuer à enseigner des mensonges et laisser vie à des mythes ou légendes que de rétablir la vérité lorsqu’elle dérange le fait établi.

 

Publié: 5 juillet 2011 sous Escroqueries.

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