• Jack Dorsey ne figure plus au conseil d’administration du réseau social Bluesky
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2024/05/06/jack-dorsey-ne-figure-plus-au-conseil-d-administration-du-reseau-social-blue

    Le cofondateur et ancien PDG de Twitter avait d’abord soutenu ce nouveau réseau social, avant de prendre ses distances et de finalement y fermer son propre compte. La nouvelle a été confirmée dimanche par un porte-parole de l’entreprise.

    (...)

    Accessible depuis février 2023, d’abord uniquement sur invitation, puis librement depuis février 2024, la plate-forme compte aujourd’hui 5,6 millions d’utilisateurs inscrits et 1,4 million d’utilisateurs mensuels actifs. C’est un peu plus que le million d’utilisateurs actifs de Mastodon, une plate-forme à la philosophie comparable lancée dès 2016, mais bien moins que les 174 millions utilisateurs mensuels de X, anciennement Twitter (selon les chiffres de Sensor Tower).

  • La France et la Suisse tempèrent les ardeurs du CERN sur le futur collisionneur XXL - Le Temps
    https://www.letemps.ch/suisse/geneve/la-france-et-la-suisse-temperent-les-ardeurs-du-cern-sur-le-futur-collisionn

    Des documents obtenus par « Le Temps » indiquent que les deux pays posent un regard mitigé sur la faisabilité, en l’état, de ce projet hors norme. Ils émettent des recommandations et s’interrogent sur sa compatibilité avec la législation

    https://letemps-17455.kxcdn.com/photos/ebf3c1d5-c49a-461f-964a-34cf9a86a844/large.avif

  • Les corses sont-ils de droite ?

    Je n’ai pas de critique toute faite contre les régionalismes. Ils peuvent déstabiliser un état qui a misé son équilibre économique sur la présence de tous les acteurs dans un effort collectif. Si les bassins d’emploi font sécession ou les régions à forte ressources, ce sont les autres qui vont en souffrir. Et la, ca va pas. L’interet particulier ne doit pas nuire à l’intérêt commun.

    Si c’est pour une impression d’unification culturelle qui dépouille une culture locale, ca aussi je peux en comprendre la légitimité. M’enfin, faudrait pas non plus faire passer la culture personnel au détriment d’objectifs de survie.

    Résultat, les régionalismes, j’ai toujours eu l’impression que c’était motivé par un patriotisme. Et je sais que le patriotisme, c’est une valeur réactionnaire de droite.

    Donc si on prend un random indépendantisme corse, qui ne serait pas de la dispora (paradoxal), est ce qu’on peut lui parler de Marx, d’internationalisme ou de polyculturalisme sans se fâcher, ou il est de droite ?

    PS : vous constaterez le niveau de merde de ma pensée, mais faut bien commencer quelque part...

  • trouve que l’actualité nous rappelle douloureusement que lorsque nous allumions un téléviseur il y a une cinquantaine d’années de cela nous tombions sur « Des Chiffres et des Lettres » ou « Apostrophes » tandis qu’aujourd’hui c’est sur « Les Marseillais à Honolulu » ou « Hanouna ».

    Parallèlement à ça, à l’époque le Parti Communiste était communiste et faisait 20 %, aujourd’hui il est barbecuiste et fait 2 %.

    Alors bon, c’est un peu gros pour que ce soit une simple coïncidence.

    #MamieNicoleEstUneVieilleRéac.

  • Scandale « maison avec piscine » : Israël met en vente la Cisjordanie
    https://www.blast-info.fr/articles/2024/scandale-maison-avec-piscine-israel-met-en-vente-la-cisjordanie-7OePC49_R

    Que diriez-vous d’une maison avec piscine sur un territoire occupé illégalement par Israël en Cisjordanie ? À Montréal, au Canada, le média indépendant Pivot (rien à voir avec l’autre buse) s’est infiltré dans une synagogue où avait lieu une foire immobilière dans laquelle des informations sur de tels projets étaient disponibles en dépit du droit international. Plus d’une semaine plus tard, un événement identique était organisé à Paris. Blast s’y est infiltré à son tour.

  • « Le moindre mal, c’est toujours le mal » : Jean-Luc Mélenchon répond à Philosophie magazine sur Arendt
    https://www.philomag.com/articles/le-moindre-mal-cest-toujours-le-mal-jean-luc-melenchon-repond-philosophie-

    Mardi dernier, nous avons publié l’article « Mélenchon a-t-il bien compris Arendt ? », sous la plume d’Anne-Sophie Moreau, pour mettre en perspective ses propos polémiques sur le président de l’université de Lille, accusé d’agir comme le nazi Adolf Eichmann après avoir accepté d’interdire une conférence sur Gaza. Le dirigeant de La France insoumise, désormais poursuivi par le gouvernement pour « injure publique », a demandé un droit de réponse, que nous publions ici.

    « Mélenchon a-t-il bien compris Arendt ? », interrogez-vous. Et vous ? M’avez-vous bien compris ? En effet, j’ai fait mienne sa description du mécanisme qui conduit à faire le mal le plus abominable en toute bonne conscience. Les controverses à propos du personnage d’Eichmann ne changent rien à ma conviction sur ce processus.

    La vie m’a permis de l’observer de près. C’était en Argentine, au procès du général Videla. J’y accompagnais deux femmes qui avaient été détenues au camp de torture “El Vesubio” à Buenos Aires. Les dictateurs Videla et Viola assassinèrent 30 000 personnes. Je n’entre ici dans aucun compte rendu, ni détail. Sauf un. Les militaires cités à comparaître avaient participé à la chaîne des meurtres depuis l’arrestation des “terroristes”, le vol de leurs affaires après leur exécution en passant par les séances de torture, le rapt de leurs enfants et les différentes étapes du transport par terre ou dans les airs pour les jeter à la mer. Mais ils plaidaient tous, sans exception, la non-culpabilité au nom du “devoir d’obéissance” consubstantiel selon eux à leur condition de militaire. Certes. Mais celui-ci ne les exempte jamais de l’impératif moral. Pourquoi ne l’ont-ils pas assumé ?

    C’était déjà un sujet de mes discussions de jeunesse sur la responsabilité morale dans l’action politique. Il ne nous suffisait pas de comprendre les conditions de la production du bien. Nous voulions connaître aussi celles du mal. Ne présupposions-nous pas naïvement : l’être humain “naît bon mais la société le corrompt” ? Comprendre la production du mal, c’est refuser la banalisation du mal comme essence humaine

    En utilisateur résolu du matérialisme historique, je sais comment la question “pourquoi” se résout en décrivant “comment”. Le “comment” tel que décrit par Hannah Arendt m’a semblé être une clef efficace. Je récuse donc l’idée que “la fin justifie les moyens”, ou à l’inverse que les conséquences ultimes n’impliquent pas les étapes qui y conduisent.

    Alors, si j’ai bien compris Hannah Arendt, pourquoi qualifier d’“abjecte” ma comparaison des conditions qui mènent au crime ? Empêcher de connaître une analyse du monde et du génocide qu’il voit s’accomplir n’est-il pas de l’ordre de la production banale du mal ? Surtout quand celui qui décide cette interdiction dénonce lui-même des pressions faites sur lui, alors même qu’il y cède ? Pourquoi dire que j’ai comparé les deux hommes ? J’ai comparé l’engrenage. Si je précise bien : “le président est sans doute un brave homme”, c’est que je ne vise pas la personne, mais le mécanisme dont il se fait une servitude volontaire d’être un rouage. Sa fuite devant le réel le conduit même à pleurnicher pour demander qu’on se contienne dans la critique qu’il prévoit pour cette interdiction. Comme s’il s’agissait d’un débat académique, et non de la dénonciation d’un génocide.

    Lisez son communiqué : “On ne peut que regretter, dans ce contexte, la pression exercée sur l’autonomie pédagogique et scientifique des établissements d’enseignement supérieur. […] À Lille, comme ailleurs, l’université continuera à défendre les valeurs de la science, du débat intellectuel et de l’écoute, loin des caricatures et des idées reçues. C’est pourquoi l’université de Lille invite chacune et chacun à la mesure dans les propos qui seront tenus afin de préserver le bien commun qui nous rassemble.” L’interdiction est la négation de ces péroraisons.

    Mon discours détaillait la production du mal par des gens ordinaires. Il alertait mes auditeurs sur les mécanismes qui conduisent à en être l’agent. Ma leçon était : sont criminels ceux qui commettent le crime, mais aussi ceux qui le laissent faire en sachant de quoi il s’agit. Mes mots y sont pesés, autant qu’ils peuvent l’être à l’oral quand on expose une idée philosophique sur une place publique, après deux interdictions de conférences dans la même journée. J’agis conformément à mon devoir politique et à ma compétence philosophique. Qu’est-ce que ma licence de philosophie, sinon une autorisation d’enseigner ? À ma manière, je cherche à le faire au fil de mes discours comme à Sciences Po Paris, car je me sens comptable devant la jeune génération.

    Vous dites au sujet de mes mots : “la justice tranchera”. Un philosophe ne peut le croire. La justice avait conclu à la culpabilité de Socrate. Sans me comparer à lui, j’en ai retenu combien la quête de vérité et de justice était d’un autre ordre que la simple application de la loi. Précisément parce qu’elle s’est faite trop souvent le véhicule de la “banalité du mal”, comme pour la rafle du Vel’ d’Hiv’.

    Interdire une conférence serait un moindre mal face au risque (d’ailleurs inexistant) de violences. Mais le moindre mal, c’est toujours le mal.

  • BBC Arabic corrects coverage 80 times over Gaza war – Middle East Monitor
    https://www.middleeastmonitor.com/20240506-bbc-arabic-corrects-coverage-80-times-over-gaza-war

    Quand la BBC est trop “arabic” !

    BBC Arabic, the BBC’s Arabic-language news channel, was forced to make corrections to its coverage of Israel’s war on Gaza, on average every other day during the first five months of the conflict, according to a report by The Telegraph on Saturday.

    Over the first five months of the war, following the Hamas-led resistance operation on 7 October, 2023, the channel was prompted to correct its content 80 times due to complaints.

    Tim Davie, the Director-General of the BBC, has previously praised BBC Arabic’s work, but a series of complaints by the Campaign for Accuracy in Middle East Reporting and Analysis (Camera), which The Telegraph notes “lobbies for ‘accurate and balanced’ coverage of Israel,” highlighted several issues with the channel’s reporting.

    One of the repeated “errors” involved referring to Jewish communities in the occupation state as “settlements” and their residents as “settlers”, which occurred in 30 and 4 instances respectively.

    BBC Arabic also faced criticism for describing Hamas and Hezbollah as “the Resistance” in a few instances and referring to attacks on Israelis as “resistance operations,” despite the widespread acceptance of the usage across the region. Both movements are designated as terrorist organisations under UK law.

    Following Camera’s complaints, certain content was completely removed from the BBC Arabic website. This included a video that questioned the mainstream media narrative of the Kfar Aza kibbutz attack on 7 October, which resulted in at least 52 deaths, and another video that presented an unverified claim the killer of a Palestinian-American child was Jewish.

    BBC sources defended its Arabic channel as “a vital source of impartial news in a region which is dominated by partisan media”. It also denied that all the corrections were significant errors, stating that corrections can “vary in substance”.❞

  • Pacte européen sur la migration et l’asile : « Un continuum de l’enfermement attend désormais les exilés »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/05/06/pacte-europeen-sur-la-migration-et-l-asile-un-continuum-de-l-enfermement-att

    Parmi les dix textes adoptés par le Parlement européen le 10 avril, aucun n’a pour objet spécifique l’#enfermement des #étrangers. Pourtant, la détention est omniprésente dans le pacte européen sur la #migration et l’#asile – ce terme y figure plus de cent cinquante fois –, qu’il s’agisse de « filtrer » les arrivées de #migrants aux# frontières, de préparer le départ de ceux qui ne peuvent être admis sur le territoire européen, mais aussi d’instruire les demandes d’asile ou même d’organiser l’accueil des demandeurs. Comme si les Etats de l’Union européenne (#UE) ne pouvaient répondre aux attentes de ceux qui frappent à leur porte, parmi lesquels un grand nombre fuit des pays en guerre ou en crise, autrement qu’en les mettant derrière des barreaux.

    Une directive européenne de 2008, dite « retour », fixe déjà des règles communes permettant que certains étrangers soient privés de liberté, sans avoir été condamnés pour un quelconque délit, si cette mesure est considérée comme nécessaire pour la gestion de leur situation administrative. Une pratique qui existe depuis longtemps en France, avec les centres de rétention, où sont placées des personnes en attente d’expulsion, et les zones d’attente aux frontières, où d’autres sont « maintenues » le temps d’examiner leur cas.

    Ces détentions se font sous le contrôle d’un juge et peuvent faire l’objet de recours, même si l’effectivité de ces garanties s’amenuise au fil des réformes législatives. En étendant la possibilité d’enfermer à toutes les étapes du parcours migratoire, le pacte consacre une présomption d’indésirabilité. Un soupçon qui vise principalement les exilés arrivant en Europe par ses frontières méridionales.

    Car tout le monde n’est pas logé à la même enseigne : lorsqu’en 2022 plus de quatre millions d’Ukrainiens fuyant l’agression russe se sont précipités aux frontières de l’UE, nul n’aurait songé à les mettre dans des camps ou à contrôler leurs déplacements. Dans tous les pays européens, où ils avaient libre choix de s’installer, un dispositif d’accueil a été mis en place en quelques jours pour leur offrir l’hospitalité, sans entraîner de bouleversement majeur.

    « Approche hot spot »

    Au contraire, avec le pacte, pour faire face à ce que certains n’hésitent pas à qualifier de « submersion migratoire » venue du Sud – rappelons qu’on parle de quelque 270 000 personnes arrivées irrégulièrement aux frontières de l’Europe en 2023 et que l’UE accueille moins de 10 % du total des réfugiés dans le monde –, les mêmes ont choisi de généraliser l’« approche hot spot », inventée en 2015 pour bloquer les exilés débarquant alors en grand nombre aux frontières maritimes de la Grèce et de l’Italie.

    La combinaison des différents règlements du pacte aboutit à ce que toute personne se présentant, sans les documents exigibles, à une frontière extérieure de l’UE soit systématiquement maintenue sous autorité policière, pendant une période de huit jours destinée au « filtrage » (identification et évaluation de la situation). Cette règle s’impose à tous, demandeurs d’asile et enfants mineurs compris.
    A l’issue de cette première phase, elle sera orientée soit vers une procédure de renvoi, soit vers une procédure d’asile à la frontière. Dans les deux cas, la #détention se poursuivra. Jusqu’à dix-huit mois, pour ceux qui doivent être expulsés, pendant de longues semaines pour de nombreux autres – alors même que, selon le droit international, la privation de liberté des demandeurs d’asile devrait rester une mesure exceptionnelle. Et si ces derniers sont « relocalisés » pour voir leur demande examinée dans un autre Etat membre de l’UE, c’est encore sous la contrainte que s’effectuera leur transfert dans ce pays.

    Sans compter que le respect des délais prévus par le pacte suppose un bon fonctionnement des instances chargées du filtrage, de l’examen des demandes d’asile et du contrôle de ces procédures. Il exige aussi des locaux adaptés à l’accueil des populations concernées. Or, l’expérience des « #hot_spots » italiens, et surtout grecs, fait craindre que l’impossibilité matérielle de gérer ces différentes contraintes ne perpétue un mécanisme aussi inefficace qu’inhumain.

    Caractère structurel

    Faute de pouvoir procéder à des #expulsions, faute de personnel compétent en nombre suffisant, faute de capacités d’hébergement décent, plusieurs îles grecques de la mer Egée sont devenues, avec l’« approche hot spot », des centres de triage où des dizaines de milliers de personnes – hommes, femmes, enfants, vulnérables et malades mélangés – sont entassées et souvent enfermées, pendant parfois plusieurs années, dans des conditions matérielles et sanitaires en deçà de tous les standards.

    En 2019, la commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe Dunja Mijatovic [remplacée en avril par Michael O’Flaherty] rapportait, après une visite, avoir vu « une situation explosive [où] les soins médicaux et les installations sanitaires font cruellement défaut, [et où] les gens font la queue pendant des heures pour recevoir de la nourriture ». Depuis, de nombreux rapports, émanant tant d’organismes officiels que d’organisations non gouvernementales, confirment le caractère structurel des violations des droits dont sont victimes les occupants des « hot spots ».

    La massification de la détention instaurée par le pacte ne s’arrête pas aux frontières et n’épargne personne, dès lors qu’on a été obligé, faute d’accès à des voies légales pour voyager, d’emprunter la route de la clandestinité. Car un règlement du pacte sur les conditions « d’accueil » des #demandeurs_d’asile finalement admis sur le territoire européen prévoit qu’on pourra aussi détenir certains d’entre eux pour éviter les « risques de fuite ».

    Bien loin du « système (…) pleinement ancré dans les valeurs européennes et le droit international » qu’avait promis la Commission européenne en 2020 en présentant le pacte, c’est un continuum de l’enfermement qui attend désormais les exilés ayant réussi à franchir les remparts de la forteresse #Europe.

    Claire Rodier est membre du Groupe d’information et de soutien des immigrés et du réseau Migreurop. Elle publie, avec Annalisa Lendaro et Youri Lou Vertongen, « La Crise de l’accueil. Frontières, droits, résistances » (La Découverte, 2019).

  • Google Paid Apple $20 Billion in 2022 to Be Default Safari Search Engine - MacRumors
    https://www.macrumors.com/2024/05/01/google-default-search-engine-safari-20-billion

    Les béhémots s’arrangent entre eux...

    Google paid Apple $20 billion in 2022 to be the default search engine for Safari on iPhone, iPad, and Mac, reports Bloomberg. The information was revealed in court documents Google provided in its antitrust dispute with the United States Department of Justice.

    safari google search
    The DoJ has accused Google of having a monopoly on search, and in the lawsuit against Google, the search engine deal with Apple has been a major focus. In November, lawsuit documents indicated that Google was paying 36 percent of the total revenue that it earns from searches conducted on Safari, and now it turns out that equates to $20 billion.

    Google has been the default search engine on Apple devices since 2002, though the deal has been renegotiated several times. Apple and Google have worked to keep the terms of the search engine agreement under wraps during the trial and before, but it has been well known that Google is paying Apple billions per year.

    Last October, Microsoft CEO Satya Nadella testified that the agreement between Apple and Google has made it impossible for search engines like Bing to compete. Microsoft at one point wanted Apple to buy Bing, but Apple was not interested. Microsoft blamed Google, but Apple’s Eddy Cue said that Apple was concerned that Bing could not compete in “quality and capabilities.” Cue claimed that Apple uses Google as the ‌iPhone‌’s default search engine because Apple has “always thought it was the best.”

    Google is the default search engine on Apple devices in most countries, but users can opt to swap to Yahoo, Bing, DuckDuckGo, and Ecosia as alternatives. Changing browser engines requires opening up the Safari settings.

    In Europe, the Digital Markets Act has required Apple to make changes to how browsers work. Users are able to choose a default browser when setting up their ‌iPhone‌, and there are more options than the handful of providers that Apple allows in the United States.

    If Google loses the antitrust lawsuit against it, the deal between Apple and Google could be dissolved. Closing arguments are expected on Thursday and Friday, with the judge’s ruling set to come later in 2024.

    #Apple #Google #Antitrust

  • L’Extraordinaire pensée de Judith Butler
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/documents/l-extraordinaire-pensee-de-judith-butler

    Nous publions ce texte de Nicolas Casaux parce qu’il traduit de façon claire et exacte les thèses de Judith Butler, énoncées dans un entretien intitulé « La théorie du genre expliquée avec Judith Butler » (juin 2023). Qui plus est, il le fait avec une candeur vigoureuse et parfois hilarante - tel le petit garçon des Habits neufs de l’empereur qui constate « mais le roi est nu ! » - sans se laisser impressionner par l’amphigouri à prétention philosophique de la théoricienne du queer. Butler, (…) #Documents

    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/nicolas_casaux_-_judith_butler.pdf

  • #Ubuntu_24.10 Release Date Set for October 10, 2024
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/05/ubuntu-24-10-release-date

    Canonical has published a draft release schedule for Ubuntu 24.10 ‘Oracular Oriole’. According to the timetable we should expect the final stable release of Ubuntu 24.10 to arrive on Thursday October 10, 2024. Six months of development lay ahead, with a beta release of the ‘Oracular Oriole’ set to take flight on September 19, followed by a release candidate build on October 3 to help identify extant issues. As a short-term or ‘interim’ release Ubuntu 24.10 will only get 9 months on support from its release. Short but sweet and it dovetails into the Ubuntu 25.04 release due in April […] You’re reading Ubuntu 24.10 Release Date Set for October 10, 2024, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News

  • Hamas Political chief spoke with Egyptian intelligence chief and Qatari PM
    6 May 2024 18:10 BST | Middle East Eye
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/hamas-political-chief-spoke-egyptian-intelligence-chief-and-qatari-pm

    Hamas’s political chief Ismail Haniyeh informed Egypt and Qatar that the group has accepted a truce agreement.

    “Brother Ismail Haniyeh, the head of the Hamas movement’s political bureau, had a phone call with the Qatari Prime Minister, Sheikh Mohammed bin Abdul Rahman Al Thani, and with the Egyptian Minister of Intelligence, Abbas Kamel, and informed them of the Hamas movement’s approval of their proposal regarding the ceasefire agreement,” the group said in a statement

    #cessez-le-feu

    • Les Palestiniens espèrent que l’annonce du Hamas est un pas « positif » vers la fin de l’effusion de sang
      6 mai 2024 - 17:21 GMT
      https://www.aljazeera.com/news/liveblog/2024/5/6/israels-war-on-gaza-live-israel-pounds-rafah-as-truce-talks-stall
      Tareq Abu Azzoum - Reportage à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza

      Le mouvement Hamas a annoncé qu’il avait accepté la proposition de cessez-le-feu présentée par les médiateurs.

      Les Palestiniens autour de l’hôpital koweïtien ici [à Rafah] ont célébré cette annonce comme une étape positive, en espérant que cette étape puisse aider à prévenir une éventuelle incursion militaire à Rafah.

      On peut voir des enfants, des jeunes hommes et des personnes âgées en train de célébrer. Il y a un grand sentiment d’optimisme ici... ils chantent joyeusement.

      Ils chantent pour la paix. Ils chantent le retour à la maison.

      Les habitants attendent maintenant une confirmation de l’accord de cessez-le-feu de la part des Israéliens.

      Pas de confirmation du côté israélien
      6 mai 2024 - 17:40 GMT
      Bernard Smith | Reportage à Ramallah, Cisjordanie occupée

      Il est tout à fait compréhensible de voir l’enthousiasme, l’excitation et le soulagement à Gaza après que le Hamas a accepté les termes d’une proposition de cessez-le-feu.

      Cependant, du côté israélien, il n’y a absolument aucune confirmation.

      En fait, les médias israéliens laissent entendre qu’Israël n’acceptera pas cette proposition. La chaîne 13 en Israël, qui est généralement assez fiable, affirme que le Hamas a accepté une proposition égyptienne édulcorée, ce qui n’est pas acceptable pour les Israéliens.

      Il y a quelques heures à peine, Yoav Gallant, le ministre israélien de la défense, a déclaré aux familles des captifs que le Hamas avait rejeté toutes les propositions qui nous permettraient de récupérer les prisonniers, et qu’il nous obligeait donc à lancer une opération à Rafah.

      Nous n’avons pas eu connaissance des détails exacts de cet accord [que le Hamas a accepté], mais il n’y a rien d’officiel de la part des Israéliens.

      La proposition de cessez-le-feu comprend trois phases, dont un cessez-le-feu permanent
      6 mai 2024 - 17:45 GMT

      Des sources ont indiqué à Al Jazeera que la proposition égypto-qatarie acceptée par le Hamas comprendrait trois phases, chacune d’une durée de 42 jours.

      La première phase verrait l’instauration d’une trêve et le retrait israélien du corridor de Netzarim, qu’Israël utilise pour diviser le nord et le sud de la bande de Gaza.

      La deuxième phase comprendrait l’approbation d’une cessation permanente des opérations militaires et hostiles et le retrait complet des forces israéliennes de Gaza.

      La proposition comprend également une disposition approuvant la fin du blocus de Gaza au cours de la troisième phase.

      La balle est dans les mains d’Israël", « décision très, très difficile » pour Netanyahou
      6 mai 2024 - 19:45 GMT

      Gideon Levy, éditorialiste du journal israélien Haaretz, estime que le Hamas a « pris une mesure brillante » qui a mis Israël dans l’embarras.

      Le Hamas a dit très clairement : « Nous acceptons un accord », dont personne ne connaît exactement les détails, et maintenant la balle est dans les mains d’Israël, qui doit décider", a-t-il déclaré à Al Jazeera.

      « Pour M. Netanyahou, il s’agit d’une décision très, très difficile à prendre, car il pourrait perdre son gouvernement. D’un autre côté, s’il dit non, il est très clair qu’Israël veut la guerre et non les otages », a déclaré M. Levy.

      L’analyste a fait remarquer que la situation avait atteint un stade « très critique » et qu’il n’y avait plus de temps pour un quelconque report.

      « M. Netanyahou doit décider ce qu’il préfère : un gouvernement qui continue à rester au pouvoir, Dieu sait pourquoi, ... ou prendre une décision courageuse, dire oui à l’accord, libérer les otages, mettre fin à cette guerre - qui n’a rien fait de bon en Israël et certainement pas pour les Palestiniens - et essayer de créer une nouvelle réalité à Gaza », a déclaré M. Levy.

      « C’est son choix. Le connaissant, il ne choisira pas le meilleur ».

  • Le città visibili

    Dove inizia il cambiamento del Paese.

    Nelle città di tutto il mondo stanno cambiando gli abitanti, i loro desideri e le loro priorità: la casa, lo spazio pubblico, il modello di sostenibilità ambientale, il modo di lavorare.

    In Europa, come negli Stati Uniti, esiste una visione più o meno condivisa del modo in cui rendere le città più sostenibili, più giuste, più belle.

    Ed è una visione che si confronta con tante difficoltà, con le abitudini e i conservatorismi non solo della politica e dell’impresa, ma anche dei singoli cittadini: rompere gli equilibri è faticoso.

    Pierfrancesco Maran, assessore del Comune di Milano alla Mobilità, all’Urbanistica e ora alla Casa, racconta la sua esperienza sul campo in queste pagine che affrontano le sfide e i nodi della trasformazione di una metropoli moderna, tra nuova identità e riscoperta delle tradizioni, all’insegna dell’innovazione nella progettazione del verde, dell’edilizia, della qualità dell’aria, del turismo e dei grandi eventi, della valorizzazione delle periferie e dell’economia della conoscenza.

    Una riflessione concreta di grande attualità sull’oggi e sul domani dei luoghi del cambiamento attraverso cui passa il futuro del Paese.

    Le parole di Francesco Costa

    «Come sono le città oggi e come diventeranno domani. Chi sono le persone che le abitano, come stanno cambiando le loro vite e i loro lavori. Pierfrancesco Maran, uno dei protagonisti della trasformazione di Milano degli ultimi anni, racconta difficoltà, opportunità, contraddizioni che vivono le aree urbane in questo periodo di grandi scossoni sociali, con lo spirito di chi cerca sempre soluzioni nuove. Una guida al presente delle città per essere pronti al prossimo futuro.»

    La necessità di comprendere i bisogni di chi abita le città

    «Siamo così saturi di immagini e notizie da far fatica a distinguere quelle importanti, a prenderci il giusto tempo per riflettere e analizzare, a volte siamo addirittura socialmente obbligati a esplicitare una nostra opinione su fatti complessi, prima ancora di averla completamente formata. Negli ultimi mesi, anche grazie a questo libro, ho potuto dedicare tempo per riflettere, per comprendere i bisogni di chi abita le città, per ragionare sulle opportunità di domani, studiare qual è lo spirito del tempo degli abitanti della città, nativi e nuovi arrivati.»

    Il futuro delle città

    «Nelle città di tutto il mondo stanno cambiando gli abitanti, i loro desideri e le loro priorità: la casa, lo spazio pubblico, il modello di sostenibilità ambientale, il modo di lavorare. In Europa, come negli Stati Uniti, esiste una visione più o meno condivisa del modo in cui rendere le città più sostenibili, più giuste, più belle. Ed è una visione che si confronta con tante difficoltà, con le abitudini e i conservatorismi non solo della politica e dell’impresa, ma anche dei singoli cittadini: rompere gli equilibri è faticoso.»

    https://www.solferinolibri.it/libri/le-citta-visibili

    #livre #villes #urban_matter #changement #soutenabilité #Pierfrancesco_Maran