Devenir membre de la Women's Business Society, c'est bénéficier d'un accès privilégié à nos événements, ainsi qu'à un réseau exclusif de femmes aux ambitions professionnelles affirmées, où vous pourrez vous exprimer et échanger librement lors de déjeuners-débats, afterworks et ateliers.
Devenez membre de la Women's Business Society et bénéficiez d'un accès privilégié à nos événements, où vous pourrez vous exprimer et échanger librement lors de déjeuners-discussions, d'afterworks et d'ateliers. Profitez également de notre réseau exclusif de femmes aux ambitions professionnelles affirmées.
Depuis 2012
Fondée à Genève en 2012, la Women’s Business Society incarne une vision résolue d'égalité entre les sexes et de promotion des carrières féminines, couvrant les domaines économique, juridique, politique et social. Ses activités, qui s'étendent jusqu'à Lausanne, sont rythmées par des rendez-vous essentiels : des déjeuners-discussions mensuels où les idées s'échangent librement, des conférences-débats où s'exprime la diversité des voix féminines, et des afterworks networking où se tissent des liens précieux.
Pourquoi la WBS existe ?
Voici quelques chiffres essentiels qui illustrent l'urgence et l'importance de notre association. Ces données fournissent une vision claire de la situation actuelle et de la nécessité de nos actions :
1971
C'était il y a 53 ans. Nos mères et nos Grands-mères, à notre âge, n'avaient pas le droit de vote en Suisse. Les femmes en Suisse ont obtenu le droit de vote pour les femmes au niveau fédéral le 8 mars 1971.
13,8%
En 2020, le salaire mensuel brut standardisé médian dans le secteur privé se montait alors à 5779 francs pour les femmes et à 6705 francs pour les hommes.
35 jours
En Suisse, en 2024, pour un travail équivalent, les femmes travaillent gratuitement jusqu'au 17 février, 35 jours en moyenne pour ce début d'année.
-8 rangs
La Suisse chute de huit places dans l'indice annuel du WEF sur l'égalité entre les hommes et les femmes, se classant désormais 21e. Globalement, le progrès mondial dans ce domaine stagne, avec une perspective de parité qui nécessiterait encore 131 ans au rythme actuel.
